Il n’y a que la mauvaise presse qui sauve ou Philippe Muray ressuscité (Euro-Synergies)
Vendredi 5 novembre 2010Non classé, ça buzz!
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… journalistes, c’est peut-être ce que découvrit aussi, avec un peu de stupeur tout de même, Elias Canetti. Leur médiocrité est toujours un cran au-dessus (ou au-dessous, c’est affaire de perspective) de celle que, par compassion plus qu’ignorance, nous avions cru être le maximum qu’un être humain pût supporter sans se dissoudre instantanément. Comme les créatures des très grandes…
Source : Euro-Synergies
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